Une fois encore, ce post doit commencer par un remerciement envers Laurent Bourrelly, pour m’avoir une fois de plus poussé à sortir de ma grotte, et à redevenir ce que je prétendais être et étais un tantinet moins ces derniers mois : curieux ! Curieux de rechercher de nouvelles solutions aux problématiques de mes clients en 2016, curieux surtout de trouver des solutions qui tiennent la route dans le SEO de 2016 avec un Google de 2016, qui soient aussi vendables sans avoir l’impression d’esbroufer, tout en étant satisfaisantes pour mon esprit retors. Merci donc à toi, big papa, qui m’a permis de reprendre mon souffle et de me lancer dans un domaine qui m’étais jusqu’alors quasi inconnu (voir fui) : les domaines expirés.
Mon bon vieux Scrapebox
Sitôt lancée l’idée de faire de l’expiré, la rock star lessivée m’a présenté à un client intéressé, il a donc fallu que je sorte au sens propre de ma grotte, pour voir s’il y avait un peu de soleil dans ce recoin inconnu. Rapidement j’ai constaté qu’il existait des acteurs incontournables de l’expiré, mais aussi et surtout que mon bon vieux compagnon de route, Scrapebox, pouvait aussi faire partir de cette nouvelle aventure avec moi. Il allait m’aider une fois encore à me passer de services prêts à consommer et payants, et me permettre à nouveau de fouiller, de chercher, de creuser, dans des directions que je n’avais encore jamais empruntées.
Je dois dire que j’y ai, une nouvelle fois, passé des heures et des heures ! Entre recherche de mots-clés, de domaines liés, de vérifications, de check de whois… cela m’a rappelé mes vertes années, en moins fun : à l’époque où je cherchais des digg-likes, Pligg, PHPDug, Hotaru et consorts, les récoltes étaient bien plus fructueuses, voire gargantuesques ! Là, je me suis confronté à des recherches sans trouvailles, à des journées bredouilles, et à l’angoisse de ne pas avoir trouvé, en temps et en heure, les expirés que j’étais censé vendre à mes clients. Mais ô bonne mère (permettez, je vais fêter ma première décennie marseillaise cet été), que je me suis régalé !! Je me suis retrouvé avec moi-même, bras dessus bras dessous avec mon poto scrapeur, et bien dans mes vieilles baskets !!
Mon cher Domraider
Les chemins tortueux, boueux, cramés, arides, humides ou carrément désertiques que j’avais empruntés avec Scrapebox, quelque plaisir que j’ai eu à les parcourir, ne serait-ce que pour faire face à nouveau à cette réalité professionnelle qui est la mienne en tant que SEO indépendant, ne m’ont pas toujours permis de découvrir le saint graal, loin de là. Je me suis donc intéressé à expiredmomains.net, à qui j’ai fini par tourner le dos parce qu’on n’arrivait pas à s’entendre et que je lui trouvais moins de charme de qu’à mon poto scrapeur (du coup, même pas je te fais un lien, na :P). J’ai donc résolu d’aller explorer DomRaider, suite aux conseils avisés de mon protecteur.
Là les chemins à emprunter étaient aux antipodes de ceux que j’avais parcourus avec Scrapebox : bonheur, simplicité, douceur, calme, profusion même, voire félicité… mais aussi € ! Eh oui, ce que tu ne parviens pas à faire toi-même en SEO et que d’autres ont passé (et passent) des heures à développer et à mettre en place de façon très ergonomique et très simple d’utilisation, cela coûte ! Alors investir quand on est petit comme moi, cela fait parfois peur, parce qu’il faut pouvoir rentrer dans ses frais ma bonne dame ! J’ai hésité, refait un bout de chemin en mode scrape, mais au final, je suis revenu à cet outil tout beau tout simple, et aujourd’hui je n’ai pas peur de le dire : je recommande vivement Domraider à ceux qui comme moi, veulent vendre de l’expiré (et ceci n’est PAS un billet sponsorisé : je le dis gratos et je m’en revendique même !!) .